24 juillet 2017 à 05:50
V'LA LA P'TITE HISTOIRE DU JOUR
Oups!
Un avion décolle d’Orly et après avoir atteint son altitude de croisière, le pilote fait son annonce:
– Mesdames et Messieurs, c’est votre capitaine qui vous parle…
Bienvenue sur le vol 144 à destination de Québec. Le ciel est dégagé, les conditions météo sont optimales, nous devrions avoir un vol particulièrement agréable… Oh! Non! Non!
Puis suit un long silence plutôt inquiétant. Le pilote revient finalement au micro et reprend :
– Je suis désolé de vous avoir fait peur mais alors que je vous parlais, le chef de vol m’a apporté une tasse de café, et l’a renversée sur moi. Vous devriez voir l’état dans lequel est ma chemise !
Et alors un passager, depuis le fond de l’appareil, s’écrie:
– Ça, c’est rien, Vous devriez voir l’état dans lequel est MON PANTALON !
Il ne faut pas mentir
Une dame âgée voyage en train entre Boston et Montréal. Peu avant la
frontière canadienne, elle s’adresse à son voisin, un prêtre :
– Si vous pouviez mettre cette jolie trousse de toilette toute neuve que je viens d’acheter sous votre soutane, cela m’éviterait de payer une taxe.
Le curé lui répond:
– Bien sûr, mais je dois vous rappeler que si on
m’interroge, je ne pourrai pas mentir.
Arrive la douane et le douanier…
– Rien à déclarer mon père?
– De la tête à la ceinture: je n’ai absolument rien.
– Ah bon, et en dessous?
– Oh! En dessous, je n’ai qu’un petit nécessaire pour dame qui n’a jamais servi !
Deux drôles de catholiques
Deux gars toxicomanes, des vraies pestes, emmerdent tout le village avec leurs folies.
Par contre, ils assistent à la messe tous les dimanches, et donnent généreusement à la quête en espérant se racheter ainsi.
Un beau jour, un des deux frères meurt. La veille des funérailles, le survivant visite le curé.
– Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher, mais à une condition…
– Laquelle?
– Il faudra dire, pendant l’ofice, que mon frère était un saint.
Après réflexio- Hummmm… D’accord.
Et le curé encaisse le chèque.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
– Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent…
Le curé parle comme ça pendant plusieurs minutes…
– Mais, en conclusion, comparé à son frère, cet homme était un saint! Que Diau ait son âme!
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